Claude Bourgeois (Distex), hédoniste humanitaire

6 avril 2016

C’est peut-être un cliché, mais s’il y a une phrase qui colle très bien à la peau de Claude Bourgeois, directeur des ventes Centre et Est du Canada de la compagnie d’équipements Distex, c’est qu’il croque la vie à pleines dents. Lire la suite >>

Ça fait quelque temps déjà que Claude Bourgeois est impliqué, d’une façon ou d’une autre, dans la communauté de Trois-Rivières. Que ce soit comme président du K-Club (Kiwanis) de l’école secondaire Lavérendrye, comme directeur du club privé L’Alexandre, cette belle maison du centre-ville où il orchestra avec doigté les relations entre la direction, les employés et la clientèle (de 1981 à 1986), ou lorsqu’il organise la Bourse des Jeunes Espoirs, un souper-bénéfice pour les jeunes pilotes, lors du Grand Prix de Trois-Rivières(dans lequel il est impliqué depuis 40 ans!), sa présence vient galvaniser les troupes et fait rayonner sa ville.

Une autre partie du cœur de Claude est prise par la restauration. Ce goût pour la bonne chair lui vient de son grand-père, qui était un passionné de cuisine à la maison. Après avoir gradué à l’ITHQ, Claude Gauthier (le président de l’Association des Restaurateurs du Québec) lui a donné sa chance au fameux Castel des Prés, où il restera 5 ans, de 1981 à 1986.

Puis on le verra organisateur d’évènements, dirigeant son entreprise Chic Évènement. On lui confiera certains défis prestigieux et complexes, comme l’inauguration de la machine 10, sous un chapiteau monté dans l’usine Kruger, où des membres de la direction des quatre coins de l’Amérique du Nord étaient présents.

Retrouvons-le chez Cassidy Ltée. Cette maison de distribution d’équipements fut la 2e plus vieille compagnie en Amérique du Nord, ayant été fondée après la Baie d’Hudson et avant Molson! Sous la direction de Luc Beaudoin et Paul Normand, pendant 10 ans (de 1990 à 1999), il sera représentant en équipements d’hôtels, de restaurants et d’hôpitaux. Dix ans, ça crée des liens, quand même! Alors, fidèle à sa passion d’organisation d’évènements, il planifie une soirée de retrouvailles pour ses anciens collègues, le 29 mai prochain.

Pendant près de cinq ans (de 1999 à 2004) on le retrouvera en recherche et développement et en vente pour Eurodib. Grâce à son président, Jean-Yves Dumaine, il aura accès à une mine de savoir et d’érudition, qui feront de ses voyages d’affaires une source de connaissances qu’il apprécie encore à ce jour.

Nous le retrouvons donc aujourd’hui chez Distex, où son mentor et ami, Michel Prévost, l’a invité en 2004. C’est là qu’il continue d’appliquer les préceptes du livre de Jacques Horovitz, Les cinquante règles du service zéro défaut, grâce auxquels il s’assure que le client vit une expérience de satisfaction complète, à chaque étape du service rendu.

Il a également une autre source de fierté (et surtout pas d’orgueil!) dans sa vie : le bénévolat. Il est très actif dans les œuvres de Sœur Angèle, comme Plein air à plein Cœur, qui organise un camp d’été et un dîner de Noël pour les enfants défavorisés. Il se verrait très bien en assurer la pérennité, si un jour elle devait ralentir ses activités. Avec Moisson Mauricie, il tire une grande satisfaction à redonner un peu du bonheur qu’il vit, aux gens plus démunis.

Mais ne parlez pas de ralentissement à Claude Bourgeois. La retraite? Inconnue à cette adresse! Il a encore bien trop de plaisir à travailler pour se voir vivant une vie de loisirs.

Extraits d’un portrait écrit par Samy Rabat.

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